Le vent d’autrefois
Il est minuit et demi Le vinyle tourne Toujours Ce vent d’autrefois
Café, et encore du café Ses yeux diamants Inconscients Ne se cachent jamais
L’encre des idées A peine séchée Et tout est repris Tout est réécrit à nouveau
Le rythme de la basse Coule à travers son corps Comme du chocolat fondant Dans la bouche veloutée De celle qu’il aime
Jules Delavigne, 2006
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